Lauréats de quelques prix
littéraires décernés en 2008
• Prix Interallié : Serge Bramly, Le premier principe Le second principe, JC Lattès.
• Prix du Premier Roman : Thierry Dancourt, Hôtel de Lausanne, La Table Ronde.
• Prix Goncourt : Atiq Rahimi, Syngué sabour, Pierre de patience, POL.
• Prix Goncourt des Lycéens : Catherine Cusset, Un brillant avenir, Gallimard.
• Prix Renaudot : Tierno Monénembo, Le roi de Kahel, Seuil.
• Prix Décembre : Mathias Enard, Zone, Actes Sud.
• Prix France Télévisions (Roman) : Yasmina Khadra, Ce que le jour doit à la nuit, Julliard.
• Prix de Flore : Tristan Garcia, La meilleure part des hommes, Gallimard.
• Prix Médicis (Roman français) : Jean-Marie Blas de Roblès, Là où les tigres sont chez eux, Zulma.
• Prix Femina (Roman français) : Jean-Louis Fournier, Où on va papa ?, Stock.
• Prix Femina (Étranger) : Sandro Veronesi, Chaos calme, Grasset.
• Prix de l’Académie Française (Grand Prix du Roman) : Marc Bressant, La Dernière Conférence, De Fallois.
• Prix Jean Giono : Jean-Marie Blas de Roblès, Là où les tigres sont chez eux, Zulma.
• Prix Nobel de Littérature : Jean-Marie Gustave Le Clézio (France).
• Prix du Roman Fnac : Jean-Marie Blas de Roblès, Là où les tigres sont chez eux, Zulma.
• Prix du Livre Inter : Henry Bauchau, Le Boulevard périphérique, Actes Sud.
• Prix Marguerite Duras : Annie Ernaux, Les Années, Gallimard.
• Prix des Libraires : Delphine de Vigan, No et moi, JC. Lattès.
Grand merci pour cette impressionnante récapitulation.
[je serais curieux d'en savoir davantage sur...le(s) lecteur(s) de tous ces livres]
Cependant, j’ai cru relever un « facheux » oubli.
La liste n’était pas annoncée comme étant exhaustive, c’est donc tout à fait pardonnable (!)
Il serait intéressant de noter que le prestigieux Prix Nobel n’est pas la seule récompense décernée chaque année en Suède.
Eh non ! Il existe aussi le Prix Stig Dagerman qui est récemment allé à…J-M G. Le Clézio.
Oh ! Une « doublette » !…
B.
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Oufff! Annie Ernaux n’a pas été oubliée pour ce roman qui est une forme d’aboutissement de son travail d’écriture. Un roman à déguster, à ouvrir encore et encore pour plonger dans cette mémoire collective qu’elle dépeint si bien.